lien:http://questions.assemblee-nationale.fr/q14/14-42050QE.htm Question N° :42050 de M. Joël Giraud( Radical, républicain, démocrate et progressiste - Hautes-Alpes ) Ministère interrogé >Écologie, développement durable et énergie Rubrique >déchets, pollution et nuisances Analyse > substances dangereuses. informations. contrôle
Question publiée au JO le : 12/11/2013 page : 11746
Texte de la question
M. Joël Giraud attire l'attention de M. le ministre de l'écologie, du développement durable et de l'énergie sur les phénomènes de «chemtrails» et la géo-ingéniérie. Un certain nombre d'articles sont parus dans des revues scientifiques spécialisées ayant trait aux "mystérieuses traînées dans le ciel" plus connues sous le nom de «chemtrails». Plus récemment, la Conférence du collectif «skyguards» qui s'est tenu à Bruxelles le 9 avril 2013 a rendu ses conclusions et a présenté au Parlement européen une pétition afin de faire cesser les épandages aériens clandestins dans le ciel. La géo-ingéniérie qui comprend les interventions délibérées à large échelle visant à modifier le climat pour limiter le réchauffement climatique a des effets dévastateurs. Des milliers de témoins peuvent dénoncer des trainées d'avions dans le ciel qui se développent d'un horizon à l'autre, s'élargissent et fusionnent jusqu'à couvrir le ciel d'un nuage artificiel. En effet officiellement ces trainées sont considérées comme des traces de condensation laissées par les avions mais les scientifiques qui ont étudié la question mettent en avant le fait que les traces de condensation sont identifiables à des altitudes élevées de l'ordre de 10 000 mètres et que celles-ci se résorbent rapidement alors que les chemtrails apparaissent à des altitudes plus basses entre 2 000 et 5 000 mètres et s'estompent très lentement. Certains émettent l'hypothèse qu'il s'agirait là d'épandage de produits chimiques provoquant d'ailleurs des maladies respiratoires chez les populations survolées et que les appareils concernés sont des avions militaires sans aucune identification possible, écartant ainsi la piste des appareils civils qui ne seraient donc pas concernés par ces traces. Aussi, il lui demande de bien vouloir lui faire savoir si des études ont été diligentées par le Gouvernement afin d'apporter des réponses précises aux questions légitimement posées.
CHEMTRAILS, lundi 11/11/2013 11h00 : énorme largage effectué dans les Yvelines au dessus de la forêt de Saint Germain en Laye, Ile de France. 30 à 40 avions militaires présents dans le ciel, officiellement 0 avion civil d'après le sitewww.flightradar24.com . Photos faites ce matin vers 11h. ON NOUS PRENDRAIS PAS POUR DES JAMBONS DES FOIS ???
Par La Voix de la Russie | Tous les Français se rappellent des informations officielles sur le nuage radioactif de Tchernobyl. Selon la version officielle de l’État français et des médias, le nuage s'était arrêté à la frontière allemande !
Dans la matinée du jeudi 7 novembre, une pluie de filaments blancs est tombée sur la Drôme. Les habitants inquiets ont téléphoné aux services des pompiers pour les avertir. Divers témoignages venant des alentours de Valence et de Chabeuil, distantes de 12 kilomètres et séparées par un aérodrome, nous parlent de filaments blancs longs de trois à quatre mètres comme dans un premier article paru dans le Dauphiné le 7 novembre. Des témoins disent que ces produits tombés du ciel sont toxiques et que cela n'a rien à voir avec les toiles d'araignées, comme le dit le Dauphiné dans son édition du 8 novembre. Les autorités que nous avons contactées comme la police ou les pompiers disent qu'à cette époque de l'année, d'immenses toiles d'araignées tombent des arbres, ou alors ils disent n'avoir rien vu de particulier. Un scientifique indépendant nous parle de ses recherches et prétend que ces produits sont le fruit de l'homme.
Scientifique indépendant.Bernard Tailliez, titulaire d'un doctorat en chimie, 70 ans, a un laboratoire (Centre Indépendant d'Investigations et Expertises en Chimie Organique). Bernard Tailliez a été contacté en 2012 par l'association ACXEIPICA pour effectuer une expertise sur des filaments trouvés en France car ce scientifique s'est fait une réputation d'homme têtu qui se base sur le résultat de ses recherches et de ses analyses scientifiques, des analyses qui ont déjà dérangé les pouvoirs publics sur l'affaire de l'Erika. Bernard Tailliez avait des doutes envers les dires de l'association :«Au départ je les prenais pour des petits rigolos... Mais je me suis mis au travail dans mon laboratoire et j'ai vu les résultats des échantillons donnés par l'association avec mes machines. Je suis tombé à la renverse. Y a de quoi s'inquiéter. J'ai mis lerésultat de ce rapport sur mon site. J'ai commencé à prendre la chose au sérieux. Les résultats analytiques sont très inquiétants et prouvent une intervention humaine ». On apprend que des phtalates, de la dioxine et des furanes tombent du ciel. Bernard Tailliez parle de l'appel d'un Américain qui vit dans la Drôme et qui témoigne de la chute de nombreux filaments sur sa commune, à côté de Valence.
L'Américain. C'est un habitué du sujet qui parle : « J'ai lul'article du Dauphiné. Ils veulent nous faire croire que ça vient des arbres. Cela vient des avions qui balancent ces produits dans le ciel. La semaine dernière j'ai déjà vu ces filaments blancs partout dans la commune. Cela transporte des bactéries. Hier pareil. Les filaments étaient sur les arbres, les voitures, les maisons, dans les jardins. Ce ne sont pas des toiles d'araignées ». Visiblement engagé sur cette cause, l'Américain avec son accent du Texas, continue : « Ils détruisent les arbres, l'agriculture. C'est plein d'aluminium. On n'a plus de vrai ciel ! »
Toile d'araignée qui bouge. D'autres lecteurs du premier article du Dauphinécommentent aussi dans le même sens que l'Américain : « Une chose est certaine, il faut éviter de les prendre à la main. Éviter de laisser ses enfants et les animaux dehors durant la tombée des filaments», écrit l'avatar Teak et Orange. « Cela fait 10 ans que le monde entier ferme les yeux sur ces fibres dont la différence avec des fils d'araignées a été clairement établie. Ces fils polymères ont été analysés à Cuers récemment. On trouve des phtalates en grande quantité sur les cultures. Allez-y les gens ! Mangez du bio ! Et ne vous souciez de rien !» The Nowaytogo, qui a un canal youtube, montre sur une vidéo datée du 17 octobre 2013 des filaments tomber du ciel sur la ville d'Aubenas qui se trouve à 70 kilomètres de Valence. Sur une autre vidéo, The Nowaytogo montre, si c'est réellement sans trucage, le comportement d'une de ces toiles d'araignées devant un doigt. La toile d'araignée se rétracte toute seule. N
Les réserves mondiales de céréales baissent depuis les 8 dernières années et n'assures plus qu'à la population mondiale, une réserve pour 20 jours, bien en deçà du niveau qui est considéré acceptable qui a été fixé à 70 jours. À la hausse du prix des matières premières, à la raréfaction de l'eau et des surfaces arables et aux ravages causés par les dérèglements climatiques, se sont ajouté 2 phénomènes récents; au moment même où la demande chinoise en céréale s'accélérait brutalement, les biocarburants ont commencé à redessiner la carte de l'agriculture mondiale.
Résultat de trente ans de changements, la France a aujourd'hui deux visages. Dans les 25 métropoles qui totalisent 40% de la population sont concentrés les cadres, les techniciens spécialisés et l'essentiel des immigrés. C'est là que 80% du PIB du pays est produit. Hors de ces villes, dans le reste de la France, se retrouvent des millions d'employés et d'ouvriers, qui constituent la «France des fragilités». Ils vivent dans la précarité et constatent le fossé grandissant qui les sépare des urbains entrés dans l'ère numérique. A travers des rencontres, des témoignages et l'étude de travaux de spécialistes, c'est le portrait d'une France oubliée qui apparaît. http://www.youtube.com/watch?v=rMj_r_rQ75Q&fb_source=message
http://www.rue89.com/rue89-planete/2013/05/22/fukushima-vie-desormais-cest-creuser-tombe-242483 Les autorités vont rouvrir discrètement la zone interdite entourant la centrale nucléaire. Les réfugiés pourront retrouver leur domicile, à leurs risques et périls.Au lendemain de l’accident de Fukushima, le 12 mars 2011, les 11 500 habitants d’Okuma sont évacués. Comme les 65 000 habitants des huit autres communes situées à moins de vingt kilomètres de la centrale.
Accueillis en premier lieu dans des gymnases et des abris de fortune – ces réfugiés ayant été, pour nombre d’entre eux, contaminés –, ils sont ensuite relogés dans des lotissements publics de logements dits « provisoires ».
Et puis le provisoire est devenu permanent. Aujourd’hui, après leur avoir versé une indemnité forfaitaire, les autorités départementales exigent des réfugiés qu’ils remboursent les sommes versées, afin de les redistribuer sous forme d’allocations mensuelles pour une période non définie.
Et parce qu’il faut bien susciter la reprise économique de la région, les autorités ont aussi décidé de rouvrir intégralement la zone de vingt kilomètres évacuée après l’accident.
Selon le nouveau découpage, en place dès le 28 mai, il n’y aura donc plus :
la zone interdite : celle qui regroupe les villages situés à moins de dix kilomètres de la centrale où on ne se rend que de temps en temps avec combinaisons et masques ;
et le reste de la zone évacuée.
Mais plutôt :
la « zone de retour indéterminé » dans laquelle les allers-retours en journée sont autorisés sur des durées courtes et contrôlées, sans date prévue d’accès libre. La contamination y est supérieure à 50 millisieverts par an et il n’y a aucun espoir d’ici cinq ans de retrouver le seuil de radioactivité de 20 millisieverts par an – seuil autorisant le « retour à la vie normale » et malgré tout vingt fois supérieur au seuil d’inadmissibilité recommandé par la CIPR (Commission internationale de protection radiologique) ;
et la « zone de préparation à l’annulation de la directive d’évacuation »où un « retour à la normale dans les deux ans est prévu ». Les réfugiés pourront y vaquer à leurs activités professionnelles et y effectuer librement des allers-retours. Puis, lorsque le taux de radioactivité situé entre 20 et 50 millisieverts par an sera ramené à moins de 20 millisieverts par an, y résider sans contrainte.
Repeupler pour relancer l’économie
A priori, peu de différence entre l’ancien et le nouveau découpage du territoire. A ceci près que dans le nouveau, la zone interdite et dangereuse est beaucoup plus petite que dans l’ancien. Une façon comme une autre de donner un sentiment d’apaisement et de liberté de mouvement retrouvée, tout en repeuplant les alentours de la centrale de Fukushima Daïchi, employeur prometteur.
Quand les autorités ont annoncé à monsieur et madame Kowata et aux autres réfugiés d’Okuma qu’ils pourraient bientôt aller et venir comme avant, ils se sont tournés vers la justice.
Ils ont intenté un procès au maire d’Okuma, située à cinq kilomètres de la centrale : inhabitable au vu des taux de contamination constatés, leur quartier, comme la ville, doit faire partie de la « zone de retour indéterminé », et pas de celle où chacun peut vaquer à ses occupations comme si de rien n’était.
Le petit groupe de réfugiés a eu gain de cause, et faute d’autre chose, vit toujours dans un des lotissements « provisoires ». Il se situe à Aizu Wakamatsu, à une centaine de kilomètres de la centrale nucléaire.
En compagnie d’autres personnes, âgées pour la plupart de plus de 70 ans, ils évoquent leurs conditions de vie.
« Nous n’y arrivons pas »
« Cela fait deux ans que nous vivons ici. Chaque jour, nous nous demandons comment nous allons faire. Nous avions des projets pour nous en sortir, mais rien n’a pu aboutir. »
« Nous ne pouvons pas reconstruire. Il faudrait que nos enfants nous accueillent chez eux. Tout ceci est difficile à vivre.
Ceux d’entre nous qui pouvaient encore travailler n’ont plus de travail. Avant, nous cultivions nos propres légumes. Nous cultivions nos champs et nous mangions notre riz. Désormais, nous devons tout acheter. Notre vie est devenue beaucoup plus onéreuse. Si le problème de l’indemnisation n’est pas réglé rapidement, comment allons-nous nous sortir de cette situation ?
Sans argent, comment faire avec les jeunes enfants, pour ceux qui en ont ? Avec 100 000 yens [750 euros] par mois et par personne nous arrivons tout juste à manger. Pourtant on nous insulte parce que nous percevons ces 100 000 yens, alors qu’avec cette somme il nous faut payer l’électricité, l’eau et le reste. Nous n’y arrivons pas.
Nous sommes des “ victimes ”, perçues en tant que “ réfugiés ” et, par conséquent, rejetés. Afin de ne pas subir de discriminations, nous sommes obligés de faire changer les numéros sur les plaques d’immatriculation de nos véhicules. »
« Même les corbeaux sont partis »
« Quand nous revenons chez nous, à Okuma, nous retrouvons une réalité qui nous semble de plus en plus éloignée de nous. Bien que ce soit notre maison, nous avons l’impression de rentrer chez quelqu’un d’autre.
Les voleurs pénètrent dans les maisons. A l’intérieur, ils mangent, sortent les futons et dorment. Ils sont chez eux. Ils renversent les autels des défunts. Sans doute cherchent-ils de l’argent. On retrouve leurs traces de pas au sol. »
« L’autre jour, un groupe de quatre ou cinq personnes vidaient l’essence des véhicules. Ils cassent les voitures et tout ce qu’il y a dedans. Ils volent les télévisions. C’est insensé de penser que nous avons fui et que, derrière nous, les voleurs sont entrés pour tout prendre !
Nos maisons sont envahies par les mauvaises herbes. Les rats et les souris courent partout. Les civettes dévorent tout. Il y a des sangliers. Les hirondelles, les moineaux et les corbeaux ont disparu, parce que les poubelles des habitants ne les nourrissent plus. Les saumons, dans les rivières, ont le ventre en l’air. »
« Les chiens savent »
« Si l’administration n’avance pas plus rapidement dans la reconstruction de logements, nous ne pourrons jamais sortir de là où nous sommes. C’est comme avec la décontamination.
Le département devrait nous demander ce que nous souhaitons, sinon ils feront n’importe quoi. Ils veulent nous confiner dans des logements collectifs de cinq étages ! »
« C’était le même problème après le tremblement de terre de Kobe. Les gens ont été relogés dans des cages à lapins de cinq ou six étages. Ils se sont sentis tellement seuls que beaucoup en sont morts. Nous sommes allés visiter des logements publics dans lesquels il est interdit d’avoir des animaux domestiques. Au moins dans les logements provisoires, nous pouvons avoir des chiens et des chats. Nous ne pouvons pas ne pas les emmener !
J’ai laissé, pour ma part, nos deux chiens chez nous, à Okuma. L’un d’entre eux est mort. Il ne restait plus que sa tête. Lorsque j’y suis retournée récemment, j’ai emmené mon chien qui était encore en vie pour une promenade, et soudain, il s’est arrêté et a poussé un long soupir. J’ai songé que, depuis que je suis née, c’était la première fois que j’entendais un chien soupirer.
Les chiens savent. Ce sont eux qui savent le plus. Quand on en est réduit à les abandonner, c’est un comble. Le mien, quand je le mets dans la voiture, il est heureux. Il est jeune, mais il est malade. Il perd du sang. Le vétérinaire nous a dit qu’il avait été très contaminé. »
« Notre génération ne retournera pas à Okuma »
« Nous nous sommes réunis pour demander aux autorités de pouvoir accéder à la zone interdite, car nous voulions pouvoir entretenir et nettoyer nos maisons. Mais, en réalité, nous ne pouvons pas rentrer chez nous. La radioactivité est tellement élevée que personne ne peut y vivre. »
« Là où j’habite, elle s’est fortement accrue en deux ans. Autour des fenêtres, en quelques mois, le taux est passé de 100 à 200 microsieverts par heure, pour atteindre 300 microsieverts en mars dernier. Devant la maison, le taux a chuté à 7 microsieverts et, derrière, il est remonté à 20 microsieverts. Quant à la montagne, elle est toujours très contaminée.
Notre génération ne retournera pas à Okuma. Nos petits-enfants, qui ont été dispersés, ne se souviennent de rien : ils ont oublié leur maison.
Quand les responsables prendront-ils enfin des décisions utiles ? Sans compter qu’ils vont relâcher les eaux contaminées dans les sous-sols. Nous ne pouvons pas retourner dans un endroit pareil, c’est impossible. On nous dit que l’on pourra rentrer, mais même dans 50 ans, personne ne le pourra.
C’est bien pire qu’à Tchernobyl. Et si on nous laissait là, sans jamais nous apporter de solution ? Comment allons-nous finir ? Notre vie, désormais, c’est de creuser notre tombe. »