le choix

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mercredi 30 octobre 2013

Un auditeur désespéré pousse un gros coup de gueule en direct!!!!


Publiée le 29 oct. 2013
Ce mardi 29 octobre 2013, sur Europe 1, dans le buzz du jour de 10h à 10h30, Jean-Marc Morandini abordait les nouvelles taxes sur l'épargne que le gouvernement est en train de mettre en place.

Comme chaque jour, les auditeurs interviennent à l'antenne pour réagir aux déclarations des invités en studio.
Mais le témoignage de Teddy a bouleversé les auditeurs.
Un homme désespéré, qui fait de l'intérim, qui n'arrive plus à boucler ses fins de mois et qui réclame une justice sociale au gouvernement de gauche.

La grande pompe à "phynances" ARTE


 le 29 oct. 2013
Peut-on encore arrêter la finance folle ? Une enquête magistrale au cœur d'un capitalisme financier que plus personne ne maîtrise, et qui a plongé le monde dans de graves turbulences.

Peut-on encore arrêter la finance folle ? Une enquête magistrale au coeur du capitalisme financier. 1e partie.

Peut-on encore arrêter la finance folle ? Une enquête magistrale au coeur d'un capitalisme financier que plus personne ne maîtrise. Ce premier volet revient sur le fameux jeudi noir d'octobre 1929 à Wall Street, pour montrer comment une crise boursière se transforme en crise bancaire, puis économique.

(FRANCE, 2012, 72mn) ARTE

A VOIR Au nom de la Terre - Pierre RAHBI Film français complet

http://www.youtube.com/watch?v=1NWEfxgMobs

Publiée le 29 oct. 2013
Synopsis et détails

Pierre Rabhi est paysan, écrivain et penseur. Il est l'un des pionniers de l'agro-écologie en France. Amoureux de la Terre nourricière, engagé depuis quarante ans au service de l'Homme et de la Nature, il appelle aujourd'hui à l'éveil des consciences pour construire un nouveau modèle de société où « une sobriété heureuse » se substituerait à la surconsommation et au mal-être des civilisations contemporaines.

mercredi 23 octobre 2013

http://www.fukushima-blog.com

source: Fukushima : l’AIEA autorise la vie en zone contaminée
Avertissement : attention aux lecteurs sensibles, la lecture de cet article peut provoquer des nausées.

Selon le communiqué de presse de l’AIEA (Agence internationale de l’énergie atomique) du 21 octobre 2013, les Japonais peuvent se faire contaminer en toute tranquillité à 20 mSv/an.

Et pour qu’il n’y ait pas de contestation, elle implique directement les organisations qui auraient pu prétendre le contraire : la CIPR (Commission internationale de la protection radiologique), l’UNSCEAR (Comité scientifique des Nations Unies sur les effets des rayonnements ionisants et l'OMS (Organisation mondiale de la Santé).

Bien sûr, on n’attendra pas de réactions outrées de ces organisations qui sontsoumises au bon vouloir de l’industrie nucléaire.

Les 16 personnes faisant partie de cette mission AIEA à Fukushima ont eu cette conclusion géniale : recommander aux habitants de porter des dosimètres pour qu’ils gèrent eux-mêmes leur empoisonnement.

La catastrophe de Fukushima aura donc eu comme effet :

1. l’autorisation de l’industrie nucléaire à rejeter en continu 300 m3 d’eau hautement radioactive par jour dans l’océan Pacifique pour une durée illimitée,

2. l’autorisation pour la population de se faire irradier à 20 mSv/an, c’est-à-dire de vivre normalement avec sa famille, ses enfants, dans un endroit aussi risqué qu’une « zone contrôlée » d’une centrale nucléaire.

Pour mémoire, les territoires contaminés de Tchernobyl ont été évacués à partir de 5 mSv/an. Et dans les territoires contaminés où on a laissé vivre la population,trois quart des enfants ne sont plus en bonne santé.

Ecœurant…

Pierre Fetet

mardi 22 octobre 2013

Allons-nous manger du bœuf aux hormones sans le savoir ?



Source
http://www.rue89.com/2013/10/22/allons-manger-boeuf-hormones-sans-savoir-246836


José Bové s’inquiète. Invité de Jean-Jacques Bourdin sur RMC ce mardi, le Don Quichotte de la « malbouffe » revient sur les accords de libre-échange transatlantique – en cours de négociation entre les Etats-Unis et l’Union européenne, conclus vendredi avec le Canada – et surtout sur leurs conséquences en terme de sécurité alimentaire.
« Le problème, c’est que personne n’a vu le texte, le gouvernement ne l’a pas vu. Dans ce texte, la question des importations de bœuf qui pourraient être hormonés risque d’être un problème.
On a eu les grands chapitres : il y a aura deux types de bœuf importé, le bœuf “de qualité”, et le bœuf “standard” : c’est du bœuf aux hormones ! »

Jean Marc Jancovici juin 2013


«Décarboner l'Europe ou comment assurer son indépendance 

énergétique» - Biarritz - 17/06/2013

Jean-Marc Jancovici LHFORUM 2013 (FR)

http://www.youtube.com/watch?v=tmkeOuZabYQ

Publiée le 4 oct. 2013
Jean-Marc Jancovici, Associé, Carbone 4, Président, The Shift Project, parle des nouveaux modèles énergétiques au LHFORUM.

Interview de Pierre Jovanovic sur la situation des Etats-Unis

http://www.youtube.com/watch?v=iHWptzNk6xk

Publiée le 20 oct. 2013
Interview de Pierre Jovanovic, réalisée le 17 Octobre 2013, sur la situation aux États-Unis, la répercussion en France mais aussi la situation critique de la France.

lundi 21 octobre 2013

Olivier Delamarche : Le Japon est-il fini ?

http://www.youtube.com/watch?v=p5AgW0shF5s&feature=c4-overview&list=UUjQaZ2UlSJ0zXwLYa19zz5A

MANGER SAIN : INFO OU INTOX ?

http://pluzz.francetv.fr/videos/manger_sain_info_ou_intox_,90688975.html

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L'émission : Fabien Bordier, jeune agriculteur de 27 ans, a décidé de mettre en place un distributeur de légumes le long d'une départementale. Sa démarche, à l'image d'autres initiatives originales, vise à répondre à la demande croissante de produits sains exprimée par les consommateurs. Si les bienfaits des fruits et légumes pour la santé ne sont plus à prouver, certains éléments dénaturent la qualité de ces produits, pourtant vantés par les campagnes gouvernementales. Conservateurs, additifs, pesticides, tra
itements chimiques ou médicamenteux : des substances nocives peuvent présenter des risques pour la santé. Quelles sont les solutions pour se protéger ?
Le programme : Fabien Bordier, jeune agriculteur de 27 ans, a décidé de mettre en place un distributeur de légumes le long d'une départementale. Sa démarche, à l'image d'autres initiatives originales, vise à répondre à la demande croissante de produits sains exprimée par les consommateurs

lundi 14 octobre 2013

Olivier Delamarche & Pierre Sabatier : 1/2 le 14/10/2013


Olivier Delamarche & Pierre Sabatier : 2/2


UN POLICIER VOULANT RETIRER 1000 EUROS SE HEURTE A UN BANQUIER DE LA CAISSE D'EPARGNE !


du 14 au 18 octobre 2013 : Témoignage de Ludovic, l'un de nos lecteurs que vous connaissez déjà: "Ce matin de retour d'Aix en Provence, je me suis arrêté à la Caisse d'Epargne du petit village de Mallemort, (précisant que ce n'est pas l'agence dont je dépens). Lorsque je suis rentré d'autres personnes attendaient dans la salle. Une était mécontente et parlait à haute voix à une autre l'informant qu'il fallait 4 jours selon "les dires du banquier" pour obtenir ses mille euros en espèces! Je me suis retourné, répondant spontanément qu'il n'avait pas le droit, et qu'il ne fallait pas se laisser faire.

Mon tour est arrivé, le pseudo banquier me demande ce que je voulais. Je lui réponds 1000 Euros. J'ai cru qu'il allait faire une crise cardiaque, m'informant qu'il n'avait pas cet argent. Je lui dis à haute et intelligible voix que oui, et qu'il était dans son coffre! Ce rigolo me répondit que pour des raisons de sécurité, de braquages, blabla, il ne pouvait pas détenir bcp d'argent. Pipeau, lui dis-je, à d'autres, "s'il n'y a pas d'argent dans les banques ce n'est pas à cause des braqueurs, mais tout simplement à cause d'un manque de liquidité du fait de banquiers qui ont joué avec les sous des contribuables. 
Déstabilisé il me répète "les braqueurs vous comprenez"... Stop, répondis-je, les braqueurs ce n'est rien à côté des vrais responsables de cette situation dont les gens sont victimes, un trader fait perdre plus d'argent à un pays en une nano seconde que vos soit disant braqueurs comme vous dites. Il a fait sa caisse dégoûté, et n'a pu me donner que 310 euros! Les banquiers avaient tous leurs bureaux d'ouverts, je parlais très fort, mais aucun n'est venu. Je lui ai conseillé de partir de son job avant que cela n'explose, "parce que les gens ne vont pas supporter longtemps cette situation à ne pas pouvoir retirer leur argent", rajoutant "on va pas se laisser endormir par les vrais escrocs de banquiers qui nous ont mis dans cette merde....Voilà ma phrase de la fin qui m'a fait le plus grand bien! Conclusion je pense que ça pue car vraiment un bleme de liquidité encore plus en ce moment. 
PS: Je vous avais raconter la mauvaise aventure d'un retrait par mon épouse au DAB de 300 Euros où rien n'était sorti, pourtant débité le lendemain. Eh bien nous avons été remboursé un mois plus tard par Natixis et mon neveu vient d'en faire de nouveau les frais au DAB du LCL, il tente de retirer 40 euros, il ne sort que 20, le banquier lui a juste indiqué la marche à suivre pour se faire rembourser.." Revue de Presse par Pierre Jovanovic

SUR LA MANIPULATION DE L'OR ET LA CHUTE DU DOLLAR


samedi 12 octobre 2013

Le FMI veut ponctionner 10% de l'épargne de tous les européens


http://www.youtube.com/watch?v=Z24gfoemJ2k
Les taux d'endettement public ont atteint de tels niveaux qu'il faudra trouver des solutions iconoclastes, indique le FMI dans son rapport sur les finances publiques. Le Fonds évoque un prélèvement «une fois pour toute» sur l'épargne privée.

mercredi 9 octobre 2013

Livre: La théorie des dominos de Alex Scarrow


Lundi : série d'attentats sur les réserves pétrolières. 
Mardi : effondrement des marchés. Mise en quarantaine des transports. 
Mercredi : restriction de l'approvisionnement en vivres et en énergie. 
Jeudi : coupure de l'électricité, prise d'assaut des magasins. 
Vendredi : la panique et le chaos s'installent dans les rues. 
Le scénario apocalyptique est en marche. Un seul homme peut l'arrêter. Un thriller d'un réalisme effrayant, une tension extrême : les débuts fracassants d'un jeune écrivain considéré dans le monde entier comme le successeur de Robert Ludlum et Tom Clancy.

Nucléaire : des bâtiments de la centrale de Cruas évacués

Le deuxième incident dans deux central en une semaine...source Le Dauphine le 09/10/2013
Plusieurs dizaines de personnes ont été évacuées cet après-midi de deux bâtiments de la partie nucléaire de l’unité de production N°2 de la centrale Edf de Cruas-Meysse. Les appareils de mesure ont relevé à 16h50 une élévation de la radioactivité dans un local. Précisons que l’unité était arrêtée pour maintenance. Toutes les personnes évacuées ont subi les contrôles radiologiques habituels à la sortie des bâtiments. EDF précisait hier soir : «Aucun salarié n’est contaminé. Il n’y a pas d’impact sur l’environnement ». L’accès aux bâtiments est redevenu possible à 20h10.

mardi 8 octobre 2013

Centrale EDF du Tricastin : trois agents victimes d’un "souffle d’air"




Lundi 7 octobre vers 15 h 45, un indicent s’est produit en zone nucléaire, sur le Centre nucléaire de production d’électicité du Tricastin, exploité par EDF. Trois prestataires de la société Orys, qui portaient tous l’équipement adéquat, se trouvaient dans le « bâtiment des auxiliaires nucléaires », où ils démontaient une pompe. Ils ont été surpris par un souffle venu de cette pompe. Les trois hommes ont été pris en charge par les équipes du site, ainsi que par des secours extérieurs, comme le veut la procédure. Ils ont ensuite passé les contrôles pour sortir de la zone nucléaire, avant de se diriger vers l’infirmerie du site. Il ne seraient en apparence pas blessés.
Source: Le Dauphine libéré le 08/10/2013

Iitate, village fantôme près de Fukushima. La Croix



Le bourg d’Iitate, distant de 35 km de la centrale nucléaire de Fukushima, a été vidé de ses 6 200 habitants.
Deux ans et demi après, la culture reste possible, même après le nettoyage d’une partie de la terre cultivable.
Bien qu’il soit interdit d’y passer la nuit, une petite poignée d’irréductibles continue à vivre sur place, prend des mesures, veut comprendre, même si la renaissance de ce village semble impossible.
Dans le silence fantomatique du village d’Iitate déserté, autour d’une grande table en bois de chêne massif, Nobuyoshi Ito, 70 ans, ancien ingénieur converti à l’agriculture un an avant la catastrophe, discute avec son vieil ami « professeur paysan », Meguro San, 73 ans, natif du village, héritier maudit de cinq générations de paysans.
Épuisé après avoir passé la journée à couper l’herbe devant sa belle maison en bois achetée pour sa retraite, Numa San, 68 ans, déguste une petite bière bien fraîche. Un dîner presque banal à la « Ferme d’Iitate », fondée en 2010 par Nobuyoshi Ito pour les cadres de Tokyo épuisés par le travail en quête de bon air, de produits sains de la campagne et avides de cultiver la terre... « Ma vie a basculé en mars 2011, soupire-t-il, et plus rien ne sera jamais comme avant. »
À Iitate, on parle de radioactivité comme de la météo. On ne regarde pas un baromètre mais les compteurs mesurant les taux de radioactivité, dans l’air, sur l’herbe, les rizières, les arbres, les toits des maisons ou les gouttières. On ne parle pas en centigrade mais en « microsieverts » ou en « becquerels ».
Mais si le corps humain peut sentir la chaleur ou le froid, aucun signe ne peut l’avertir des variations de la radioactivité. La menace invisible enveloppe les lieux. Dispersée, concentrée ou localisée, elle vit et survivra au village. La nuit est tombée. L’obscurité est totale. Fermes abandonnées, rizières en friche, champs nus, serres au plastique déchiré... Iitate, isolé dans les montagnes et les collines, incarne la désolation d’un village fantôme depuis la catastrophe nucléaire de Fukushima le 12 mars 2011, à 35 km de là.
Nobuyoshi Ito reste à Iitate en permanence
Aujourd’hui, un œil rivé en permanence sur les écrans des compteurs de radioactivité disséminés dans sa maison et aux alentours, Nobuyoshi Ito est le seul habitant à vivre en permanence dans le village. «Je ne fais confiance qu’en mes appareils, assure-t-il. Les autorités ont installé 23 moniteurs un peu partout dans le village mais leurs chiffres demeurent inférieurs aux miens...»
Le gouvernement autorise aux habitants des visites durant la journée mais interdit d’y passer la nuit. « Je ne supporte pas mon habitation provisoire allouée par les autorités à plus de 40 km d’ici, assure l’ancien ingénieur. Cela me stresse. Ici je suis bien, je dors bien et j’ai une mission à accomplir après cette catastrophe qui a ruiné la vie de milliers de personnes. Il faut essayer d’analyser les effets de la radioactivité, son impact sur les plantes, les arbres, les légumes, et même les humains. »
Serait-il inconscient ce natif de Yokohama, en quête de sérénité après une longue vie de travail, à vouloir jouer au cobaye humain? Nobuyoshi Ito reste lucide mais veut relever le défi, « le défi contre les erreurs de Tepco, la société qui gère la centrale de Fukushima, et du gouvernement qui sont à mes yeux 100 % responsables de la tragédie ».
une population « 100% victime » Un défi également contre la passivité d’une population meurtrie et épuisée, « 100 % victime » mais incapable de protester collectivement contre les secrets, les mensonges ou l’opacité de la gestion de la plus grave crise nucléaire civile du Japon.
« Continuer à vivre à Iitate, village pauvre mais aux paysans généreux, c’est combattre un tsunami invisible et affronter ses conséquences incertaines ou même inconnues », soupire le résistant. Ne pas voir, ne pas sentir: de là viennent l’angoisse et la peur. D’autant que les scientifiques ne sont pas unanimes sur les taux de radiation et leurs conséquences sur l’homme.
Assis en face de lui, Meguro San dit n’avoir « plus rien à perdre ». Avec son amie de 83 ans, ils passent la moitié du mois dans leur maison, rénovent ou entretiennent les bâtisses des voisins. Une chance que n’ont plus les 1 000 habitants de Nagaduro, quartier sud d’Iitate, totalement interdit d’accès pour cause de très forte radioactivité « Nous sommes vieux,4/5
mes deux enfants et mes quatre petits-enfants sont en sécurité à Soma, à plus d’une heure de voiture, moi je ne risque plus rien car les effets de la radioactivité sur moi ou en moi ne seront visibles que dans des années et je serai déjà mort... »
Il est certain d’avoir été « touché » par des taux qui ont dépassé les 100 microsieverts le 15 mars 2011, comme les 6 200 habitants du village, dont 700 enfants. Un taux très élevé mais à la nocivité incertaine dans le temps en fonction de la durée d’exposition. Pour autant, les habitants n’ont été évacués d’Iitate qu’un mois après la catastrophe, alors que le nuage radioactif parti de la centrale montait vers le nord-ouest, poussé par les vents. Comble de malchance, la pluie et la neige sont tombées juste au-dessus du village, faisant descendre dessus la poussière radioactive.
des statistiques déconcertantes
« Pendant un mois nous avons vécu en consommant l’eau de la rivière, les légumes et le riz d’ici... », s’étonne encore Meguro San. En dépit des examens médicaux annuels offerts par le gouvernement, qui n’ont jusqu’à présent rien révélé, les habitants se sentent porteurs d’un mal encore non décelable... « Avec l’ingénieur Nobuyoshi, nous étudions la façon dont les plantes ou les légumes absorbent ou non la radioactivité en fonction de la nature contaminée des sols... »
Et de sortir des tableaux statistiques aux résultats déconcertants. « On ne comprend pas pourquoi les aubergines, les patates douces ou le riz absorbent plus ou moins de radioactivité sur des sols fortement radioactifs, il n’y a pas de logique... sauf pour les champignons qui en absorbent beaucoup », constate Nobuyoshi Ito en sortant un pot de miel « que j’ai analysé et qui contient 1 700 becquerels!!! Vous voulez goûter?! »
Il fait une expérience avec de la cendre de bois qu’il tasse dans une boîte hermétique placée ensuite dans une machine ressemblant à un gros mixer qui calcule le taux de radioactivité à l’intérieur des produits – elle coûte 30 000 €. Dix minutes plus tard, les chiffres s’affichent sur le petit écran: « 19 000 becquerels », soupire l’ingénieur, « sachant que l’homme peut consommer seulement des produits à un niveau maximum de 100 becquerels... Vous faites le calcul de la radioactivité dans les sols, absorbée par les légumes à des taux variables ».
Face à la contamination des sols, les autorités ont décidé de « nettoyer » la surface des 2 300 hectares de terre du village, sur une profondeur de 5 centimètres. « L’idée semble logique, assure Numa San, ancien chimiste ayant travaillé dix ans aux États-Unis, mais sachant qu’un hectare nettoyé représente 1 000 tonnes de terre contaminée, soit 3 millions de tonnes de terre sale pour l’ensemble du village, le problème du stockage apparaît. »
« l’atome a tout détruit » À quinze minutes de voiture, sur une colline, s’entassent déjà des milliers de tonnes de terre contaminée, emballée et scellée dans des bâches hermétiques, mais laissées à l’air libre en attendant d’être enterrées. « Vous avez devant vous seulement 10 % des terres du village qui ont été nettoyées et les autorités se savent plus où les stocker... », déplore Rie Kitajima, jeune spécialiste du nucléaire et anthropologue ayant travaillé à Tchernobyl. « Cette présence lourde ne rassure personne et représente une autre bombe à retardement dans les années qui viennent. »
« De plus, ajoute-t-elle, la nature des sols a changé, le taux de radioactivité a bien baissé mais il demeure conséquent, sachant que le césium 134 diminue de moitié chaque année mais le césium 137 diminuera de moitié en trente ans... et qu’on ne peut se remettre à cultiver normalement. » Le vieux Meguro San secoue la tête et ne peut qu’acquiescer. « Une terre stérile ne se rachète pas, une famille éclatée non plus. Vivre sur ma terre n’a pas de prix, l’atome a tout détruit. »
Nobuyoshi Ito ne veut pas baisser les bras. Son rêve de « ferme agricole » s’est effondré mais il veut transformer les lieux en centre de recherche sur la radioactivité. « Le mythe sécuritaire du nucléaire a explosé le 11 mars 2011, dit-il en montrant une photo de ses deux enfants il y a des années durant un voyage scolaire dans une centrale nucléaire vantant la sécurité totale. Je me suis senti trahi par leur propagande, mais aujourd’hui par mes recherches je veux protéger les générations futures même si je sais que l’homme ne pourra jamais être plus fort que l’atome. »

Paralysie du budget fédéral étasunien. Quelles conséquences...

http://www.youtube.com/watch?v=VZf8YUNfwGo

U.S. Treasury warns of what is to come...


Olivier Delamarche : Il n'y pas de reprise en Europe - 07 Octobre


jeudi 3 octobre 2013

Une nouvelle fuite d'eau radioactive à Fukushima!!!!


Plus de deux ans après l'accident nucléaire de Fukushima au Japon, la situation n'est toujours pas stabilisée. Et une nouvelle fuite d'un réservoir vient d'être signalée jeudi par Tepco. L'exploitant de la centrale a déclaré que l'eau radioactive pourrait se déverser dans l'océan Pacifique.

Tokyo Electric Power (Tepco), l'exploitant chargé de veiller au bon fonctionnement de la centrale de Fukushima, a annoncé jeudi une nouvelle fuite d'eau radioactive d'un réservoir sur le site de la centrale nucléaire accidentée.
Selon Tepco, cette eau pourrait se déverser dans l'océan Pacifique. Ce groupe japonais a construit rapidement, trop à la hâte lui reprochent ses détracteurs, des réservoirs pour entreposer l'excès d'eau servant à refroidir le combustible qui a fondu dans trois réacteurs lors de la catastrophe en mars 2011 sur le site de Fukushima-Daiichi, à 230 km au nord-est de Tokyo. Tous les jours, Tepco doit verser des centaines de tonnes d'eau pour éviter la surchauffe des réacteurs.

Nouvelle fuite

Cette énième fuite serait due à un réservoir incliné. Elle a été découverte dans une autre zone que celle d'où 300 tonnes d'eau radioactive s'étaient échappées en août dernier.
L'efficacité de Tepco est régulièrement mise en cause. Beaucoup lui reprochent un manque d'efficacité dans le nettoyage de la centrale et de ses alentours qui prendra des décennies. Le gouvernement japonais, critiqué pour sa gestion de la crise, s'est engagé à prendre en charge lui-même la gestion de l'eau et des opérations de refroidissement sur le site. 
source:
http://www.franceinfo.fr/monde/nouvelle-fuite-a-fukushima-1163381-2013-10-03 

mercredi 2 octobre 2013

La suisse simule une attaque de la france!!!!

http://mobile.lemonde.fr/europe/article/2013/09/29/un-exercice-militaire-suisse-simule-l-attaque-d-une-france-surendettee_3486756_3214.html